Il s'agit d'une adaptation assez libre d'un extrait du poème "La métamorphose du vampire" de Charles Baudelaire. J'ai voulu rendre ambiguë la représentation des femmes en y appliquant un langage inclusif, et utiliser la rythmicité de ce langage dans l'espoir de montrer l'étrangeté de certaines de ces métaphores - de la fleur à la déesse, du poison au méanophore.