Il paraît que les zooms de l’école sont si sensibles qu’ils peuvent capter le froissement de nos vêtements, le bruit de notre respiration, le craquement de nos os. Notre mécanique interne, le bruit de l’intérieur. Mais passé notre étonnement, l’idée ne nous paraît pas tellement étrange, car nous sommes vivant.es – en mouvement constant. Nous sommes fait.es de bruits.
Si le vase posé sur ma table de nuit l’était, lui aussi, à quoi ressemblerait sa musique intérieure ?